Annonce : Après une longue traversée du désert intérieur. Je sors de sept ans de "prison".Je suis un homme de quarante ans, libre et disponible. J'ai envie de tout apprendre, ré-apprendre. Je me sens de nouveau vierge comme à dix-sept ans. J'ai peur. Je ne sais plus rien. Je suis mort, je revis doucement et je me sens prêt à partager cette joie avec une femme qui n'attend pas de prince charmant. Respirer dans une immobilité partagée à deux, un moment, des moments à chaque fois à ré-inventer. Renconter une femme claire par le silence, le regard, le toucher. Toucher. Etre touché, sans se raconter d'histoires. Laisser de côté le mental et toutes ses projections, fantasmes, attentes. Rencontrer le vide ensemble, le rien, la joie de n'être rien, de peau à peau dans le respect mutuel. Toucher du cadeau, du don, du soin et de l'attention. Ce n'est pas la sexualité qui m'intéresse. C'est la douceur infinie. C'est une rencontre sacrée par le don, d'être à être, d'âme à âme. Le corps sait. Les corps savent. Suspendre le temps, ne rien attendre, ne rien vouloir, ne rien demander. Juste être présent à l'instant, à soi, à l'autre, au présent, au souffle dans la présence. C'est celui qui reçoit le toucher qui le guide, le permet, l'oriente et l'autorise. Toujours dans une écoute à deux. Se renconter simplement par le toucher, dans l'unité si possible, fragiles. La peau est ce que nous avons de plus profond. Relier la peau à la joie, la joie à la peau. Donner ce que nous avons de plus rare et sensible, donner, se donner. Comment trouver et échanger cette confiance en soi, en l'autre, et dans la présence de l'écoute à deux ? Raconter des histoires n'est pas du tout ma tasse de thé, seul le présent, goûter le présent, dans la détente et l'abandon d'une rencontre silencieuse m'intéresse. Ne jamais rien savoir à l'avance, ne pas ramener les choses à soi, ne surtout pas consommer l'autre ni l'utiliser, jamais. L'autre est sacré, le corps de l'autre est sacré, et c'est la plus belle chose du monde que de se donner, s'ouvrir, se laisser enfin toucher. Il n'y a que le don, le reste c'est du marchandage ou de la pornographie. Je n'ai rien à vendre ni à acheter. Je ne suis à personne et je ne veux posséder personne. "Posséder" quelqu'un = le "baiser"...
Si vous êtes une femme qui sait ce qu'elle veut, qui se respecte, et qui connaît le corps dans le respect profond, alors je suis prêt à vous lire et peut-être vous rencontrer, si ma démarche vous touche sincèrement.
Merci.
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