Rappel de l'annonce : Qui exaucera mon rêve ?
VOICI MON GRAND REVE, Y AURA T'IL UN JOUR UNE DAME EN CAPACITE DE LE SATISFAIRE ?
"Ce jour la je frappais à la porte de l’appartement indiqué. J’entendis claquer des talons hauts puis la porte s’ouvrit sur une jolie femme brune, présentant bien. Elle est vêtue d’un tee shirt blanc et d’une jupette ample, porte des escarpins noirs et a les jambes nues, bronzées.
Sans un mot je la suis dans une petite pièce ou se trouve juste un moelleux fauteuil. A terre sur une épaisse moquette se trouve une grande serviette de bain. Après les présentations d’usage, la femme me dit de m’allonger à terre sur la serviette.
Elle enjamba alors mon visage, ce qui me donna une vue imprenable sous sa jupette, puis elle s’agenouilla sur moi en levant sa jupe, s’asseyant ensuite doucement sur mon visage. Manifestement, comme demandé, elle n’avait pas changé de culotte ni lavé son sexe avant mon arrivée. L’atmosphère sous sa jupe était moite et odorante.
Puis elle se mit à me poser qq questions auxquelles je répondais par geste des mains. Elle, se frottait légèrement sur mon visage, sur mon nez.
Après qq minutes de ce jeu, elle me dit « j’ai envie de faire pipi », elle se leva alors puis tout en restant au dessus de moi, enleva sa culotte, elle me dit ; « garde-la » et me la mis sur le visage, elle sentait. Je constatais aussi qu’elle était légérement poilue entre les cuisses !
Elle partit aux toilettes, prenant soin de laisser la porte ouverte, je l’entendis pisser !
Puis revenant vers moi elle me dit : « zut, j’ai oublié d’acheter du papier, tu vas m’essuyer avec ta langue » elle se rassit sur moi et colla son sexe humide, odorant sur ma bouche et je le lui léchais au mieux.
Puis après qq instants, elle me dit « j’ai oublié de te demander si tu avais soif » je lui fis signe que oui, alors elle me dit « bois et n’en perds pas une goutte » se soulevant légèrement elle se vida à petits jets dans ma bouche et j’avalai avec délice son champagne intime, à la fin elle se refit essuyer avec ma langue.
Puis je partis désaltéré et imprégné de son odeur intime, sa petite culotte dans la poche." |